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Maladies oculaires - part 6

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Karl Bruno Stargardt vào năm 1909 mô tả bệnh lý của đáy, kết hợp song phương để mất thị cụ thể thiệt hại võng mạc. Đây là bệnh teo điểm vàng phổ biến nhất di truyền, không may mà không trả tiền cho thời gian được. Nó dẫn đến sự biến mất gần như tổng số của các lớp ngoài của thần kinh võng mạc biểu mô sắc tố

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Nội dung Text: Maladies oculaires - part 6

  1. Accueil | Photothèque | Annonces | Art | Histoire | Liens | Vue | Maladies | Chirurgie | Homepage | Nous écrire Maladie de Stargardt Rev 31-02-2002 jmm Généralités Karl Bruno Stargardt en 1909 décrivit cette pathologie du fond d'oeil qui associe une baisse d'acuité visuelle bilatérale à des lésions rétiniennes particulières. Il s'agit de la plus fréquente des dystrophies maculaires héréditaires, malheureusement sans traitement pour l'instant. Elle aboutit à la disparition quasi totale des couches externes du neuro-épithélium pigmentaire de la zone maculaire et périmaculaire. Clinique Il s'agit de patients jeunes, classiquement entre 6 et 15 ans, qui constatent une baisse d'acuité visuelle bilatérale progressive en rapport avec une atrophie de la macula. Cette vision va diminuer progressivement jusqu'à 1/10ème ou 1/20ème. Forme maculaire de maladie de Stargardt Cliché Professeur André Mathis CHU Toulouse-Rangueil France A l'examen on constate une lésion maculaire souvent associée à des tâches jaunâtres réparties sur le fond d'oeil, c'est le fundus flavimaculatus (voir photos ci-dessous). Ces tâches jaunes décritent classsiquement de forme 'pisciforme' correspondent à des dépôts de lipofushine dans les cellules de l'épithélium pigmentaire. Les formes périphériques flavimaculées apparaissent à un âge plus tardif et
  2. s'accompagnent d'une épargne fovéolaire transitoire avec une meilleure conservation de l'acuité visuelle, pendant un temps. Il peut arriver qu'on retrouve dans une même famille des formes maculaires pures et des formes flavimaculées, avec des acuités visuelles plus ou moins altérées. Oeil droit Oeil gauche Forme fundus flavimaculatus de la maladie de Stargardt Cliché Professeur André Mathis CHU Toulouse-Rangueil France Il n'y a pas d'anomalie des vaisseaux ni de la papille comme dans les rétinopathies pigmentaires. L'électro-rétinogramme (ERG) est peu modifié au début et l'examen de la vision des couleurs met en évidence une dyschromatopsie d'axe rouge-vert. Angiographie fluorescéïnique du fond d'oeil Cliché Professeur André Mathis CHU Toulouse-Rangueil France
  3. Bonin a décrit le silence choroidien qui se traduit par une absence du pommelé choroidien, accompagné d'un effet 'fenêtre' souvent en forme d'ocelle ou d'oeil de plume de paon. Sur l'angiographie ci-dessus il s'agit de la forme flavimaculée de la maladie de Stargardt, avec une efflorescence de tâches donnant un effet fenêtre. Génétique La transmission est généralement autosomique récessive. Les Drs. Richard Lewis et James Lupski du Baylor College of Medicine annoncèrent en 1997, dans le journal Nature Genetics , qu'ils avaient localisé le gène de la maladie de Stargardt sur le bras court du chromosome 1. Lewis déclarait :"This could give us tremendous insight into a brand -new protein and function of the retina". Cette maladie est due à des mutations sur le gène ABCR. Il s'agit souvent de délétion ou de substitutions d'acides aminés. On a décrit principalement les mutations 2828A et 2588C. Le gène anormal encode une protéine présente dans le rétinal des photorécepteurs, qui est mutée dans la maladie. La protéine ABCR fait partie de la superfamille de l'adenosine triphosphate-binding cassette (ABC) transporter, et sert au transport, à travers les membranes, des lipides, des éléments hydrophobes et des peptides. Le problème est que ce gène ABCR ne s'exprime que dans les bâtonnets et qu'il y a des cônes au niveau maculaire. Comment la dégradation de la macula peut-elle alors se produire ? Des recherches doivent être effectuées... Allikmets et al. dans l'article de 1997 (Science) disaient que ces mutations semblent prédisposer les patients hétérozygotes à une dégénérescence maculaire liée à l'âge (dmla) précoce. En fait les résultats n'ont pas pu être retrouvés par d'autres équipes de généticiens. Cela reste donc hypothétique. Evolution L'évolution se fait vers la diminution progressive et inéluctable de l'acuité visuelle, pour atteindre des valeurs faibles, mais les patients ne deviennent pas aveugles. La vision définitive leure permet de se déplacer, d'être autonomes et indépendants. Le conseil génétique est parfois difficile. Bibliographie Allikmets et al. Mutation of the Stargardt disease gene (ABCR) in age-related macular degeneration. Science 277, 1805-1807, 1997
  4. Abitbol M. Données récentes sur les dégénérescences rétiniennes héréditaires Réalités ophtalmologiques 57, 8-13. 1998 Rozet JM, Gerber S, Ghazi I, Perrault I, Ducroq D, Souied E, Cabot A, Dufier JL, Munnich A, Kaplan J J Med Genet 1999 Jun;36(6):447-51 Mutations of the retinal specific ATP binding transporter gene (ABCR) in a single family segregating both autosomal recessive retinitis pigmentosa RP19 and Stargardt disease: evidence of clinical heterogeneity at this locus. Unite de Recherches sur les Handicaps Genetiques de l'Enfant INSERM U-393, Paris, France. Maugeri, A.; van Driel, M. A.; van de Pol, D. J. R.; Klevering, B. J.; van Haren, F. J. J.; Tijmes, N.; Bergen, A. A. B.; Rohrschneider, K.; Blankenagel, A.; Pinckers, A. J. L. G.; Dahl, N. Brunner, H. G.; Deutman, A. F.; Hoyng, C. B.; Cremers, F. P. M. The 2588G-C mutation in the ABCR gene is a mild frequent founder mutation in the western European population and allows the classification of ABCR mutations in patients with Stargardt disease. Am. J. Hum. Genet. 64: 1024-1035, 1999. Allikmets, R.; Wasserman, W. W.; Hutchinson, A.; Smallwood, P.; Nathans, J.; Rogan, P. K.; Schneider, T. D.; Dean, M. : Organization of the ABCR gene: analysis of promoter and splice junction sequences. Gene 215: 111-122, 1998. Shroyer NF, Lewis RA, Lupski JR Hum Genet 2000 Feb;106(2):244-8 Complex inheritance of ABCR mutations in Stargardt disease: linkage disequilibrium, complex alleles, and pseudodominance. Program in Cell and Molecular Biology, Baylor College of Medicine, Houston, TX 77030, USA. Simonelli F, Testa F, de Crecchio G, Rinaldi E, Hutchinson A, Atkinson A, Dean M, D'Urso M, Allikmets R Invest Ophthalmol Vis Sci 2000 Mar;41(3):892-7 New ABCR mutations and clinical phenotype in Italian patients with Stargardt disease. Eye Clinic, Second University of Naples, Italy. Griesinger IB, Sieving PA, Ayyagari R Invest Ophthalmol Vis Sci 2000 Jan;41(1):248- 55 Autosomal dominant macular atrophy at 6q14 excludes CORD7 and MCDR1/PBCRA loci. W.K. Kellogg Eye Center, University of Michigan, Ann Arbor 48105, USA. Zhang K, Garibaldi DC, Kniazeva M, Albini T, Chiang MF, Kerrigan M, Sunness JS, Han M, Allikmets R Am J Ophthalmol 1999 Dec;128(6):720-4 A novel mutation in the ABCR gene in four patients with autosomal recessive Stargardt disease. Wilmer Eye Institute, Johns Hopkins University School of Medicine, Baltimore, Maryland, USA. zhangk@welchlink.welch.jhu.edu Suarez T, Biswas SB, Biswas EE. Biochemical defects in human ABCR nucleotide binding domain 1 mutants associated with macular degeneration. J Biol Chem. 2002 Mar 27 FP Cremers, DJ van de Pol, M van Driel, AI den Hollander, FJ van Haren, NV Knoers, N Tijmes, AA Bergen, K Rohrschneider, A Blankenagel, AJ Pinckers, AF Deutman and CB Hoyng Autosomal recessive retinitis pigmentosa and cone-rod
  5. dystrophy caused by splice site mutations in the Stargardt's disease gene ABCR Department of Human Genetics, University Hospital Nijmegen, PO Box 9101, 6500 HB Nijmegen, The Netherlands. f.cremers@antrg.azn.nl Weng, J.; Mata, N. L.; Azarian, S. M.; Tzekov, R. T.; Birch, D. G.; Travis, G. H. Insights into the function of Rim protein in photoreceptors and etiology of Stargardt's disease from the phenotype in abcr knockout mice. Cell 98: 13-23, 1999. Site internet Online Mendelian Inheritance in Man (OMIM)
  6. Accueil | Photothèque | Annonces | Art | Histoire | Liens | Vue | Maladies | Chirurgie | Homepage | Nous écrire Maladie de Tay-Sachs Gangliosidose GM2 Déficit en Hexosaminidase A GM2-Gangliosidosis Rev 14-04-2002 jmm Maladie de Tay-Sachs Cliché Pr Mathis CHU Rangueil Toulouse France Définition Cette maladie génétique rare fait partie du groupe des dyslipoïdoses, et aboutit à la cécité et le plus souvent à la mort dans l'enfance. Elle correspond à une thésaurismose de lipides (une accumulation), principalement dans le système nerveux de l'organisme, ce qui va entraîner des tableaux neurologiques sévères. Elle fut décrite la première fois par Tay en 1881 puis par Sachs en 1887 qui la nommèrent "idiotie amaurotique familiale". Ces lipides sont des gangliosides GM2 qui s'accumulent par déficit d'une enzyme, la ß-N-acétylhexosaminidase A . Il existe des variantes de ce déficit.
  7. Actuellement, à la suite de dépistages précoces, on assiste à une diminution des cette maladie dans certaines communautés (voir ci-dessous Dor Yeshorim). Les dyslipoïdoses Le groupe des dyslipoïdoses correspond à des phénomènes d'accumulation de sphingolipides dans les lysosomes cellulaires. Ce sont des sphingolipidoses lysosomiales. Dans les mucopolysaccharidoses, il y a accumulation d'un sucre: syndrome de Hurler  syndrome de Hunter  syndrome de Scheie  syndrome de Sanfilippo  syndrome de Morquio  syndrome de Maroteaux-Lamy  syndrome de Sly  Les formes mixtes (lipide/sucre) sont les mucolipidoses (sialidoses). Les sphingolipidoses donnent une accumulation de lipides dans les cellules ganglionnaires de la rétine et le tissu nerveux (neurolipidoses ). En fonction du déficit biochimique, on observera des tableaux cliniques variés, tant dans l'âge d'apparition que dans la sévérité des signes ou le pronostic. On décrit 4 types de dyslipoïdoses: 1) les gangliosidoses par accumulation de ganglioside: maladie de Tay-Sachs (déficit en ß-hexosaminidase A)  maladie de Norman -Landing (déficit en gangliosido-ß-galactosidase)  2) les sphingomyélinoses par accumulation de sphingomyéline: maladie de Niemann-Pick (déficit en shpingomyélinase)  3) les cérébrosidoses par accumulation de cérébroside maladie de Sandhoff (déficit en ß-Hexosaminidase A.B)  maladie de Fabry (déficit en alpha galactosidase A)  cytosidose (déficit en lactosyl céramide ß-galactosidase) 
  8. maladie de Gaucher (déficit en cérébroside ß-glucosidase)  maladie de Durand ou fucocérébrosidose (déficit en alpha fucosidase)  maladie de Farber (déficit en céramidase)  4) les sphingolipidoses sulfatiques par accumulation de sphingolipide sulfatique: maladie de Scholz (déficit en aryl-sulfatase A)  maladie de Krabbe (déficit en galactosyl céramide ß-galactosidase)  Génétique La maladie de Tay-Sachs a un transmission sous le mode autosomal récessif, et se retrouve dans certaines communautés: les Juifs Ashkénazes, les Canadiens français, les Cajuns de Louisiane. On retrouve dans ces populations un porteur du gène pour 27 individus, alors que dans les populations autres, la fréquence est de un pour 250. Il y a donc un risque multiplié par 10 de voir apparaître la maladie. Le gène muté se trouve en 5q31.3-q33.1. Clinique On décrit chez les jeunes enfants de quelques mois, un sursaut inépuisable au bruit, avec un retard psycho-moteur et une hypotonie. L'examen de la vision des enfants est difficile à cause du syndrome neurologique, mais elle peut être assez bonne au début de l'évolution, pour rapidement s'aggraver et aboutir à la cécité. Celle-ci s'accompagne de nystagmus et de troubles oculo-moteurs. Le décès suivra, souvent avant l'âge de deux ans. Il existe des formes moins graves qu'on découvre chez l'enfant de 5 ou 6 ans, avec troubles du comportement et ataxie locomotrice. Les formes de l'adulte peuvent être confondues avec une ataxie de Friedreich. Le signe ophtalmologique princeps est la "tâche rouge cerise maculaire" bilatérale (cherry-red spot), décrite par Tay. La fovéola apparaît en effet rouge au sein d'une zone blanc-grisâtre: cet aspect est dû à la surcharge des cellules ganglionnaires par le ganglioside. Cette tâche apparaît entre la 4ème et la 12ème semaine après la naissance. Sa présence est d'autant plus fréquente que l'apparition de l'affection est précoce et que son évolution est plus grave. En fait la fovéola rouge est normale mais, comme elle ne contient pas de cellules ganglionnaires, elle fait contraste avec la rétine pathologique gris -blanchâtre située autour d'elle.
  9. On retrouve souvent ce signe dans les autres dyslipoïdoses. On a constaté qu'une atrophie optique survenait rapidement, associée à une dégénérescence des fibres optiques. Dans certains cas moins gravissimes, on peut assister à une transformation de la macula qui devient poivre et sel (ce qui a été noté dans la maladie de Faber). Une biopsie conjonctivale peut permettre de retrouver la surcharge cellulaire Traitement Il n'existe pas de traitement de cette maladie. Un conseil génétique est possible, grâce au diagnostic prénatal. On peut réaliser un diagnostic pré-implantantoire sur l'embryon pour voir s'il est porteur ou pas de la maladie, après une fécondation in-vitro (FIV). C'est souvent à la suite de cas familiaux qu'on peut entreprendre cette démarche, en respectant les lois de bioéthique. La recherche est déjà parvenue à traiter le déficit enzymatique de l'équivalent de la maladie de Tay-Sachs, chez la souris "knock-out". Après administration intra- veineuse d'un vecteur viral (adénovirus), les chercheurs ont constaté, dans le sérum, la présence de l'enzyme et l'expression du gène dans les tissus périphériques. Guidotti JE, Mignon A, Haase G, Caillaud C, McDonell N, Kahn A, Poenaru L. Adenoviral gene therapy of the Tay-Sachs disease in hexosaminidase A-deficient knock-out mice. Hum Mol Genet. 1999 May;8(5):831-8. Dor Yeshorim Le Rabbin Josef Eckstein qui avait eu quatre enfants morts de la maladie de Tay- Sachs, et un médecin, ont créé en 1983 à New-York une organisation nommée "Chevra Dor Yeshorim" ("generation of the righteous"). Elle a pour but de détecter les maladies autosomiques récessives mortelles fréquentes dans la communauté des Juifs Ashkénazes : principalement la maladie de Tay Sachs, mais aussi la maladie de Canavan, l'anémie de Fanconi, la dégénérescence fibreuse cystique (cystic fibrosis) et la maladie de Gaucher. Cela se réalise principalement dans les familles ultra-orthodoxes, dont les mariages sont arrangés par les familles, et qui refusent l'avortement quand la vie de la mère n'est pas en danger. Dor Yeshorim propose donc un tests prénuptial Tay-Sachs au futur couple et a déjà testé plus de 100.000 personnes. Les résultats sont envoyés au rabbin de l'organisation Dor Yeshorim mais pas aux intéressés. Ils ne seront prévenus que s'ils sont tous les deux porteurs du gène défectueux, mais on ne leur dira rien si uniquement l'un des deux est
  10. porteur. Les personnes concernées risquent d'avoir à vivre avec ce que le rabbin Shafran appelle «le fardeau affectif d'un savoir, qui ne peut qu'être accablant». La fréquence de la maladie de Tay-Sachs a nettement diminué chez les Ashkénazes depuis ces tests. Certains n'apprécient pas cette recherche d'anomalies génétiques, comme le rabbin Moshe D. Tendler, qui dit: "You violate my privacy if you know more about me than I know about myself." (Vous violez ma vie privée si vous en savez plus sur moi que moi-même). Ces tests entraînent en effet des problèmes éthiques et des situations familiales difficiles. Sites web En français : Hôpital de Montréal pour les enfants  Israel Magazine  En anglais : OMIM  Tay-Sachs disease  Country Yossi  Genetic Screening Causes Controversy  Bibliographie Beutler E. Subunit structure of the hexosaminidase isozymes. Adv Genet. 2001;44:93- 100. Brady RO. Tay-Sachs disease: the search for the enzymatic defect. Adv Genet. 2001;44:51-60. Burg, J.; Conzelmann, E.; Sandhoff, K.; Solomon, E.; Swallow, D. M. : Mapping of the gene coding for the human GM2 activator protein to chromosome 5. Ann. Hum. Genet. 49: 41-45, 1985. Chamoles NA, Blanco M, Gaggioli D, Casentini C. Tay-Sachs and Sandhoff diseases: enzymatic diagnosis in dried blood spots on filter paper: retrospective diagnoses in newborn-screening cards. Clin Chim Acta. 2002 Apr;318 Desnick RJ, Kaback MM. Future perspectives for Tay-Sachs disease. Adv Genet. 2001;44:349-56. Ekstein J, Katzenstein H. The Dor Yeshorim story: community-based carrier screening for Tay-Sachs disease. Adv Genet. 2001;44:297-310.
  11. Guidotti JE, Mignon A, Haase G, Caillaud C, McDonell N, Kahn A, Poenaru L. Adenoviral gene therapy of the Tay-Sachs disease in hexosaminidase A-deficient knock- out mice. Hum Mol Genet. 1999 May;8(5):831-8. Hechtman, P.; Gordon, B. A.; Ng Ying Kin, N. M. K. : Deficiency of the hexosaminidase A activator protein in a case of GM2 gangliosidosis; variant AB. Pediat. Res. 16: 217-222, 1982. Hechtman P, Boulay B, De Braekeleer M, Andermann E, Melancon S, Larochelle J, Prevost C, Kaplan F. The intron 7 donor splice site transition: a second Tay-Sachs disease mutation in French Canada. Hum Genet. 1992 Dec;90(4):402-6. Hill LW, Schorr SJ. Prenatal screening for Tay-Sachs disease by Louisiana obstetricians: a survey study. South Med J. 2001 Sep;94(9):910-2. McDowell GA, Mules EH, Fabacher P, Shapira E, Blitzer MG. The presence of two different infantile Tay-Sachs disease mutations in a Cajun population. Am J Hum Genet. 1992 Nov;51(5):1071-7. Martino S, Emiliani C, Tancini B, Severini GM, Chigorno V, Bordignon C, Sonnino S, Orlacchio A. Absence of metabolic cross-correction in TAY-SACHS cells: Implications for gene therapy. J Biol Chem. 2002 Mar 28 Mosenkis A. Genetic screening for breast cancer susceptibility: a Torah perspective. J Halacha Contemporary Society. 1997 Fall;No. 34:5-26. Okada S, O'Brien JS. Discovery of beta-hexosaminidase A deficiency in Tay-Sachs disease. Adv Genet. 2001;44:61-6. Palomaki GE, Williams J, Haddow JE, Natowicz MR. Tay-Sachs disease in persons of French-Canadian heritage in northern New England. Am J Med Genet. 1995 May 8;56 (4):409-12. Prence EM, Jerome CA, Triggs-Raine BL, Natowicz MR. Heterozygosity for Tay- Sachs and Sandhoff diseases among Massachusetts residents with French Canadian background. J Med Screen. 1997;4(3):133-6. Rothenberg KH, Rutkin AB. Toward a framework of mutualism: the Jewish community in genetics research. Community Genet. 1998;1(3):148-53. Rozenberg R, Pereira Ld. The frequency of Tay-Sachs disease causing mutations in the Brazilian Jewish population justifies a carrier screening program. Sao Paulo Med J. 2001 Jul;119(4):146-9. Sakuraba, H.; Itoh, K.; Shimmoto, M.; Utsumi, K.; Kase, R.; Hashimoto, Y.; Ozawa, T.; Ohwada, Y.; Imataka, G.; Eguchi, M.; Furukawa, T.; Schepers, U.; Sandhoff, K. : GM2 gangliosidosis AB variant: clinical and biochemical studies of a Japanese patient. Neurology 52: 372-377, 1999.
  12. Sandhoff K. The GM2-gangliosidoses and the elucidation of the beta-hexosaminidase system. Adv Genet. 2001;44:67-91. Xie, B.; Kennedy, J. L.; McInnes, B.; Auger, D.; Mahuran, D. : Identification of a processed pseudogene related to the functional gene encoding the G-M2 activator protein: localization of the pseudogene to human chromosome 3 and the functional gene to human chromosome 5. Genomics 14: 796-798, 1992. Zlotogora J, Leventhal A. Screening for genetic disorders among Jews: how should the Tay-Sachs screening program be continued? Isr Med Assoc J. 2000 Sep;2(9):665-7.
  13. Accueil | Photothèque | Annonces | Art | Histoire | Liens | Vue | Maladies | Chirurgie | Homepage | Nous écrire Maladie de Wolfram Wolfram syndrome DIDMOAD Diabetes Insipidus, Diabetes Mellitus, Optic Atrophy, Deafness Rev 10-09-2002 jmm Définition Cette maladie rare, autosomique récessive, est caractérisée par l'apparition d'un diabète sucré dans l'enfance associé à une une atrophie optique bilatérale qui aboutit souvent à la cécité. Le diabète insipide , qui se développe souvent plus tard, et la surdité sont moins fréquents mais constituent avec les 2 premiers signes la tétrade symptomatologique habituelle. Il existe toutefois une variabilité phénotypique assez importante ainsi qu'une hétérogénéité génétique . La majorité des patients (90 %) ont des mutations du gène codant la Wolframine  (protéine membranaire de 890 acides aminés) et localisé en 4p16.1. Il s'agit dans ce cas du syndrome de Wolfram de type 1 (WFS1), de transmission récessive ou semi-dominante. Certains patients toutefois n'ont pas de mutations dans ce gène. Les études de  ségrégation familiale de ces derniers patients (familles jordaniennes consanguines) ont montré qu'il s'agit en effet d'un autre gène, non encore découvert, et siégeant au locus 4q22-24. Il s'agit dans ce cas du syndrome de Wolfram de type 2 (WFS2). Enfin, une origine mitochondriale est discutée car des cas de maladie de Wolfram  ont été décrits, avec une délétion de l'ADN mitochondrial (mtDNA) de 7.6kb. Wolfram a décrit cette pathologie en 1938, ainsi que Tyrer en 1943. Clinique
  14. Maladie de Wolfram Atrophie optique Cette maladie associe : un diabète insipide,  un diabète sucré insulinodépendant,  une atrophie optique et  une surdité.  D'autres signes moins constants ont été décrits, des troubles psychiatriques, une anosmie, des anomalies du tractus urinaire (hydronéphrose), un nystagmus, une ataxie, des myoclonies. Le décès intervient souvent avant 50 ans. Sites web Mitochondrial disorders OMIM Bibliographie Al-Till M, Jarrah NS, Ajlouni KM. Ophthalmologic findings in fifteen patients with Wolfram syndrome. Eur J Ophthalmol. 2002 Mar-Apr;12(2):84-8. Barrett TG. Mitochondrial diabetes, DIDMOAD and other inherited diabetes
  15. syndromes. Best Pract Res Clin Endocrinol Metab. 2001 Sep;15(3):325-43. Cryns K, Pfister M, Pennings RJ, Bom SJ, Flothmann K, Caethoven G, Kremer H, Schatteman I, Koln KA, Toth T, Kupka S, Blin N, Nurnberg P, Thiele H, van de Heyning PH, Reardon W, Stephens D, Cremers CW, Smith RJ, Van Camp G. Mutations in the WFS1 gene that cause low-frequency sensorineural hearing loss are small non-inactivating mutations. Hum Genet. 2002 May;110(5):389-94. Crawford J, Zielinski MA, Fisher LJ, Sutherland GR, Goldney RD. Is there a relationship between Wolfram syndrome carrier status and suicide? Am J Med Genet. 2002 Apr 8;114(3):343 -6. Domenech E, Gomez-Zaera M, Nunes V. WFS1 mutations in Spanish patients with diabetes mellitus and deafness. Eur J Hum Genet. 2002 Jul;10(7):421-6. Eller P, Foger B, Gander R, Sauper T, Lechleitner M, Finkenstedt G, Patsch JR. Wolfram syndrome: a clinical and molecular genetic analysis. J Med Genet. 2001 Nov;38 (11):E37. Kadayifci A, Kepekci Y, Coskun Y, Huang Y. Wolfram syndrome in a family with variable expression. Acta Medica (Hradec Kralove). 2001;44(3):115 -8. Khanim F, Kirk J, Latif F, Barrett TG. WFS1/wolframin mutations, Wolfram syndrome, and associated diseases. Hum Mutat. 2001 May;17(5):357 -67. Minton JA, Hattersley AT, Owen K, McCarthy MI, Walker M, Latif F, Barrett T, Frayling TM. Association studies of genetic variation in the WFS1 gene and type 2 diabetes in U.K. populations. Diabetes. 2002 Apr;51(4):1287-90. Sam W, Qin H, Crawford B, Yue D, Yu S. Homozygosity for a 4-bp deletion in a patient with Wolfram syndrome suggesting possible phenotype and genotype correlation. Clin Genet. 2001 Feb;59(2):136 -8. Tessa A, Carbone I, Matteoli MC, Bruno C, Patrono C, Patera IP, De Luca F, Lorini R, Santorelli FM. Identification of novel WFS1 mutations in Italian children with Wolfram syndrome. Hum Mutat. 2001 Apr;17(4):348 -9. Tyrer, J. H. A case of infantilism with goitre, diabetes mellitus, mental defect and bilateral primary optic atrophy. Med. J. Aust. 2: 398-401, 1943. Wit, J. M. Donckerwolcke, R. A. M. G.; Schulpen, T. W. J.; Deutman, A. F. Documented vasopressin deficiency in a child with Wolfram syndrome. J. Pediat. 109:
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  17. Accueil | Photothèque | Annonces | Art | Histoire | Liens | Vue | Maladies | Chirurgie | Homepage Rev 03-05-2005 jmm "C'est dans la maladie que nous nous rendons compte que nous ne vivons pas seuls, mais enchaînés à un être d'un règne différent, dont des abîmes nous séparent, qui ne nous connaît pas et duquel il est impossible de nous faire comprendre : notre corps." Marcel Proust Phototh èque Rétinographe non-mydriatique et fonds d'oeil Recherche en Ophtalmologie (Eye Research) Anatomie de l'oeil normal Maladies du segment antérieur Principales maladies des yeux Herpès oculaire Les syndromes secs Syndrome de Sjö gren Les glaucomes Embryologie de l'oeil
  18. Colobomes Syndrome de Peters Comment mettre des gouttes Aniridie dans les yeux Maladie de Behçet Des asticots dans les yeux (myiase) Maladies de la rétine Stries angioides Des poux dans les cils Maladie de Stargardt Maladie de Steinert Toxoplasmose oculaire Kératocône Toxocarose oculaire Pupille tonique d'Adie Rétinopathie diabétique Syndrome de Cogan Morning Glory Syndrome Allergies oculaires Maladie de Coats Amibes et lentilles cornéennes Choriorétinopathie Séreuse Maladies générales Centrale ( CRSC ) Phénomènes solaires et Maladie de Recklinghausen héliotraumatismes Maladie de Horton Neurofibromatose de type 2 DMLA (Dégénérescence Maculaire Sclérose tubéreuse de Bourneville Liée à l'Age) DMLA et les nouveaux Maladie de von Hippel-Lindau traitements anti-angiogénèse Syndrome de Sturge-Weber-Krabbe DMLA et vitamines Choroïdite serpigineuse Homocystinurie Neuropathie optique familliale Maladie de Lyme (avec le concours de de Leber l'Institut Pasteur) Amaurose congénitale de Leber Dangers pour les yeux (thérapie génique) Rétinoschisis juvénile lié à l'X Troubles visuels de l'enfant Maladie de Best Thérapie génique Maladie de Tay-Sachs Rétinopathie diabétique Maladie de Bietti Maladie de Behcet Maladie de Kearns-Sayre Syndrome de Pierre Robin Plongée sous-marine et Maladie de Wolfram ophtalmologie Maladie de Refsum Traumatologie Projet de Recherche Refsum Traumatismes de l'oeil Adulte Refsum Project (English) Oedème maculaire cystoïde
  19. Occlusion de la Veine Centrale de la Rétine OVCR Maladie de Harada (Vogt- Koyanagi-Harada) Corps flottants du vitré Fibres à myéline de la rétine Choriorétinopathie de type Birdshot Complications oculaires de la dengue Rétinopathie pigmentaire Toxémie gravidique Maculopathie en torpille Néovaisseaux choroïdiens idiopathiques du jeune Anévrisme cirsoïde Mélanome oculaire Rétinoblastome
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